Trace Ton Rêve
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Trace Ton Rêve

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 Perdu dans le brouillard...

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moon_angels
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MessageSujet: Perdu dans le brouillard...   Perdu dans le brouillard... EmptyLun 24 Juil - 17:22

Alors voilà un petit texte fantastique mais qui est pas fini




Perdu dans le brouillard


Londres était couvert de brouillard ce soir d’hiver, mais je sortis tout de même, emmitouflé dans mon manteau et une écharpe de laine autour du coup. La place était vide, les pavés glissants et la nuit vide lumière, on voyait à peine la lueur glauque des réverbères le long de la rue. La Tamise coulait douce et fraîche, je marchais dans le froid, peu à peu tout disparut dans le brouillard : le clapotis du fleuve, le faible lumière que dégageaient les réverbères et tous les infimes sons de la nuit. Il ne persistait qu’un son, un son attirant… J’en pris la direction, en approchant je m’aperçut que c’était un chant, douce litanie raisonnant dans mon cœur, plus j ‘approchais plus l’air se rafraîchissait, je marchais toujours, sans savoir où j’allais… Je m’arrêtai, le sol pavé devint doux et confortable. J’avançai d’un pas, le printemps envahit mon nez de toutes ses senteurs, un pas de plus, un chant d’oiseau vint se mêler à celui qui me guidait, un dernier pas... Puis un rayon de soleil me frappa le visage, je fermai les yeux éblouis, je les rouvrit, mis ma main en visière, et regardai… De mes pieds à la ligne d’horizon, un gigantesque plaine s’étendait, quelques collines venaient troubler le calme de cette mer de gazon verdoyant coupé à ras, agrémentée de quelques arbres touffus. Des oiseaux traversaient le ciel à tirs d’ailes, de bosquets en bosquets, gazouillant dans le ciel bleu. De ma vie jamais je n’avais vu un tel paysage, si doux si frais, si simple. Je me retournai et au loin, je vis des montagnes qui faisaient comme une déchirure dans la voûte du ciel.
Puis, je m’allongeai dans l’herbe, une sensation de confort m’envahit, je restai là, combien de temps ? Je ne le sut pas… Et soudain, j’entendis au loin comme un galop, très rapidement le son se rapprocha et je perçus aussi des voix, on aurait dit des gens venant faire une petite fête, s’en était mais pas des gens, des créatures, vous savez ces créatures mythologiques qu’on trouve dans les livres : Les centaures, les faunes, les fées…
Ils étaient là à 20 mètres de moi, ils ne m’avaient pas vu, je me redressai, me levai et m’approchai d’un pas mal assuré. Puis l’un me vit, il me regarda longuement, puis il prévint un de ses confrères, c’était deux faunes, ils s’approchèrent, leurs petits sabots clapotants sur le sol, tout guillerets. Puis une fois tout prés de moi, l’un me tendit son bras ou plutôt sa patte, et il me dit :
« Hé ! Que fais-tu ici humain ! Cela fait bien longtemps que nous n’en avons pas vu ! »
« C’est bien vrai, mais arrêtons de parler, viens à la fête » me dit l’autre.
Ils m’entraînèrent au milieu du cercle de danseur, c’était impressionnant, toutes ces créatures que jamais je n’aurais cru réelle plus vrai que nature ! L’un m’enleva mon manteau, c’est vrai qu’au départ j’étais sensé me promener dans Londres puis, je partis danser avec eux.
Quelques heures plus tard des nains avaient installé une table, tous s’assirent donc je fis de même, à ma droite, il y avait un faune et à ma gauche un centaure, devant moi se tenait un nain richement habillé. Celui-ci se leva et cria :
« Je déclare le repas de la cinq cent vingt deuxième fête annuelle de l’Ilion OUVERT ! »
Après cette annonce le centaure se jeta sur le plat de viande, le faune sur le plat de crudité et le nain demanda une bière. Je n’osais rien prendre quand tout à coup, la main géante de l’homme cheval vint me frapper dans le dos :
« Hé bien ! Mange ! »Me dit-il avec un morceau de steak dans la bouche.
Je m’étranglais du coup titanesque que m’avait asséné le centaure, puis pris un peu de salade accompagné d’un légume vert qui m’était inconnu. Je me délecta du suivant repas : Plusieurs viandes et poissons délicieux me firent office de lourd plat principale, du fromage au lait de faune et en dessert, une gigantesque pièce montée caramélisée ensevelie sous un torrent de chantilly. Je ne mangea jamais rien d’aussi bon ! Cela changeait de mes traditionnels repas, pâtes au beurre, œufs et yaourt (au lait de vache).
Les nains me guidèrent jusqu’à ma couche postée dans une tente confortable et de taille disons… suffisante(à peu prés dix mètres sur quinze). Dedans se trouvait un lit simple avec des draps unis et épais, Des poches latérales et des portemanteaux. Je posai mes affaires et m’installai dans le lit, je m’endormit presque aussitôt en rêvant de Londres, de son brouillard et de son froid.
Je me réveillai doucement, un rayon de soleil traversa la tente, je me levai, me rhabillai, puis sorti au dehors, des oiseaux parcouraient toujours le ciel, accompagnés de leurs gazouillements joyeux. Le camp ressemblait à une gigantesque fourmilière toutes les tantes étaient en cours de rangement et les nains, déjà prêts, se tenaient en rangs, leurs sacs sur le dos, prêts à partir.
Ce fut l’heure d’y aller, on me confia un sac léger et me dit de rejoindre les rangs des faunes. Je m’exécuta. Après une heure de marche nous arrivâmes en vue d’une ville « Endor » me chuchota mon voisin de marche, je discuta avec lui de cela et appris que c’est la ville où trônait le roi nain qui était en face de moi au festin de la veille. J’apprit aussi que le royaume d’Ilion était gigantesque et qu’il était divisé en 47 petites régions, lors de la fête d’hier tout le royaume avait été réuni, il y avait eu au moins 1 million d’invités.
Une fois à l’intérieur de la ville, un faune voulu bien m’héberger, il me conduit dans une petite hutte en pierre et me la fit visiter :
« Bon alors ici c’est la pièce principale et là c’est le coin où on se lave et puis là y a une chambre, je dormirais dedans sur la paille et toi dans ce lit. »
« C’est joli comme endroit et c’est situé comment par rapport à la ville ? »
«Tout en bas, la porte de la ville est à deux pas : La ville s’organise sur cinq niveaux, les nouveaux, comme moi sont logés au premier, ce sont des petites huttes confortables mais peu spacieuses ; au second niveau il y a ceux qui sont ici depuis plus d’un an, leur classe social augmente dans la hiérarchie, il y a beaucoup de faunes ; au troisième niveau on trouve des petits pavillons il y habite les plus anciens des habitants, la plupart sont des nains ; au quatrième, Ce sont les centaures, les plus sages, ils ont acquis la confiance du roi Dwarfin qui habite sur la totalité du cinquième niveau avec ses plus grands partisans. Enfin bon ! trêve de bavardages, voilà les émissaires du roi qui viennent vous chercher »

Il pointa du doigt deux nains grassouillets habillés de capes rouges où était brodé un insigne gigantesque (le blason de la maison du roi de cette région). Quelques minutes plus tard, je me retrouvais avec les deux nains en partance pour le palais, au sommet de la cité. Mes accompagnateurs discutaient tout en me guidant, puis une fois arrivée au dernier niveau, ils me confièrent à une autre personne, d’origine naine également, cette personne était habillée d’une toge bleue et d’un chapeau de cette même couleur, il me fit d’ailleurs penser à cette bande dessinée européenne que j’avais découvert par hasard dans un journal.
Ce petit personnage me conduit alors dans le château, un dédale de couloir, le sol de granit noir était impeccable et les gigantesques murs supportaient la voûte du plafond, tout était bien éclairé par les rayons du soleil. Le nain m’indiqua alors une porte et me dit d’entrer dans la pièce. Je poussai la lourde porte et m’avançai dans une gigantesque salle circulaire, au centre trônait le roi sur un magnifique fauteuil taillé dans la roche et enseveli sous un nombre indéfinissable de coussins aux housses de soie. Des gardiens munis de lances bloquaient les sept entrées de la salle, je passai devant deux des leurs : ils étaient petit mais avaient l’air solide, des casques étaient enfoncés sur leurs têtes et cachaient la moitié de leurs visages, puis leurs barbes tressées (qui descendaient jusqu'à leurs ventres) finissaient de cacher leur bouche en se mêlants à des moustaches touffues. En définitive on ne voyait que leurs nez dépasser ! De gros nez par ailleurs.
Le roi me fit signe d’approcher, il se leva alors de toute sa hauteur, même s’il ne faisait qu’un mètre vingt, l’estrade sur laquelle il se tenait le rendait plus impressionnant, il avait l’air farouche et était d’une grande robustesse.
- Alors c’est toi que l’on a trouvé hier soir ! dit-il enthousiaste
- Oui, répondis-je
- Mmmmmh… il semblait réfléchir. Cela fait bien longtemps que je n’avais vu d’humain, peux tu me dire pourquoi et comment tu es venu ?
- Eh bien ! Je me promenais dans Londres, un soir puis le bruit disparut, je suivis une douce sérénade que j’entendais au loin et je suis arrivé ici, le brouillard venait de se dissiper, je m’étais allongé quand j’ai entendu votre marche, puis l’on est venu me chercher.
- Une chanson ? Qui la chantait ?
- Je ne sais pas, j’entendais juste cette mélodie chantée par une jeune femme.
- Peux-tu nous la chanter ?
- Oui, puis-je chantai la sérénade.
- Mais c’est le chant de la… Déesse, comment se fait-il qu’elle ait appelé un humain ! Cria-t-il, surpris ! Il était au bord de l’arrêt cardiaque.
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MessageSujet: Re: Perdu dans le brouillard...   Perdu dans le brouillard... EmptyLun 24 Juil - 17:23


Attaque surprise et massive




Un garde fit irruption dans la salle, il portait un vêtement de tissu, c’était un éclaireur, il était essoufflé et s’étouffait tout en criant :
- Grand roi, le port de la grande côte, il est assailli par des nuées d’orques ! Ils ont lâché un golem dans la prairie a ma poursuite, il arrivera un moment à l’autre !
- Aux armes ! ! ! Cria-t-il, toi sais-tu te battre ? Continua t il en me regardant.
- Eh ! bien : dans ma jeunesse, j’ai pratiqué l’escrime, je me servais d’un sabre.
- Très bien, il te sera fourni du matériel.
Puis il appela ses hommes :
- Tous sur les remparts dans cinq minutes !
Je commençai à enfiler ma cotte de maille, mon haubert et des gantelets, puis, je réfléchis, d’après de nombreux livres les golems seraient des monstres de pierre.
Je sortis dans la ville et courus vers le rempart est. Pas de chance, le golem arrivait de ce côté, je criai pour appeler des renforts, quand tout à coup je vis mon ami le faune se ruer vers moi :
- Vise les yeux ! Me cria-t-il.
- D’accord, mais où vas-tu ?
- Je pars dans les postes d’archers ! Tiens prends cette corne de brume, au moindre problème appelle-moi !
Puis il partit en courant. Le monstre approchait dangereusement, il bondit tendit un gourdin et frappa le mur de toutes ses forces, de nombreuses fissures apparurent, il frappa de nouveau, le mur s’effondrait un coup encore et s’en était fini de ma vie. Seulement les archers, perchés sur leurs hautes tours intervinrent, il ne firent pas beaucoup de dégâts à l’ennemi : Leurs flèches étaient pour lui équivalant à des piqûres de moustique. Puis vinrent les armes de siège, elles purent venir à bout d’un de ses gigantesque orteils à l’aide de pierre propulsée par un système de balancier. L’ennemi chancela, trébucha et s ‘écrasa au sol, il devint enragé ! En se relevant, il fit un pas en arrière, puis il se rapprocha une seconde fois, en boitant un peu. Je commençais à douter de la chance que j’avais eue jusqu’à présent, il se rapprochait plus enragé que jamais ! Je perdais mon calme, je réfléchis alors a toutes les façons par lesquels il me tuerait, ses yeux brillants me fixaient, il s’approchait encore ! Plus que dix mètres, ma vie ne tenait qu’à un fil. Cinq mètres me séparaient de cette bête, quand il brandit sa massue. Puis il frappa et dans un élan de fougue, je sauta sur son gourdin, il me souleva sans me voir, je criai, A ma grande surprise : Je n’étais pas mort ! Je m’agrippai à l’arme de l’ennemi tandis qu’elle valsait dans les airs, emportant des tronçons de mur. J’avais mal au cœur, je ne pouvais rien faire, je pensa alors à cette corne de brume que m’avait donné mon ami, je soufflai dedans. Un bruit rauque en sortit, mais rien n’y fit, j’étais destiné à mourir sur ce gourdin. Le pire se fut que le golem m’avait entendu et cherchai maintenant le lieu de départ du bruit, il mis un temps fou à trouver le petit homme que j’étais accroché à son gourdin. L’arme s’approcha du visage du monstre, une statue parfaite par ailleurs, mais je n’avais pas les idées à ça. Ma mort approchait petit à petit, j’entendis alors un bruit au loin :
- L’œil ! L’œil ! S’égosillaient les archers.
Mais bien sûr, pourquoi ne pas y avoir pensé, j’étais à peine à un mètre de son œil ! Je tendis alors le bras, et frappa de toute ma force, du sang jaillit alors de cette bille noire de jais, un sang foncé, très foncé.
J’étais triomphant, mais toujours coincé sur l’arme de mon adversaire qui en chancelant me faisait subir un épouvantable tour de montagnes russes. Il allait s’effondrer et ce serait la fin. Mais encore un miracle : une flèche d’argent vint se ficher dans la pierre du gourdin, une corde y était accrochée et je vis au bout le roi, enfoui dans son armure d’or, me faire signe de venir, je m’accrochai au fil et traversai le gouffre qui me séparait de mes sauveurs. J’avais survécu à l’attaque d’un golem, moi un pauvre petit londonien ! Mais ce n’était pas fini…
Ma victoire sur ce monstre nous avait débarrassés du pire mais il restait encore le gros de l’armée ennemi postée au port, d’ailleurs, ils envoyèrent quelques éclaireurs. Les archers troquèrent leurs armes pour des sabres fins et tranchants, et décidèrent de partir à l’attaque, je les rejoins alors en compagnie de mon ami.
Nous marchions depuis un moment quand soudain, on entendit le bruit du métal :
- Ils arrivent, annonça le commandant.
- Qui sont-ils ? Demandai-je à mon compagnon.
- Ce sont les armées du chaos, ils sont composés d’hommes pervertis et de démons, aujourd’hui, nous allons seulement affronter les demi-hommes, ce sont des éclaireurs. Répondit t il.
- Tu as déjà vu des démons ?
- Oui quelques-uns mais seulement des esprits démoniaques ou des démons de petite classe.
- Ah ! D’accord.
- Ils sont à vu ! Hurla le commandant. A l’assaut !
Le petit régiment de seize soldats s’avança en courant, et moi le dix-septième était perdu dans leurs rangs désordonné, tiré par le col. Je pris le rythme et rattrapa mon faune :
- Je ne sais pas me battre ! Criai-je essoufflé.
- Tu te moque de moi tu es venu à bout d’un golem de pierre, ce n’est pas quelques Bâtards (c’est comme cela qu’ils appellent les pervertis ) qui te feront peur non ?
Je fus forcé d’approuver, mais je n’étais pas confiant. La charge fut puissante et le choc terrible, des combattants partout, je fus attaqué et renversé à terre sans même que j’eusse le temps de dire «ouf ! ». On me frappa derechef, j’évitais comme je pouvais la pluie de coup qui pleuvait sur moi. Je me relevai, pris mon élan et fonçai tête baissée mais glaive levé vers l’ennemi, je frappai le métal de son bouclier en un bruit sourd et récidivai inutilement car l’adversaire était intouchable, il me mit une seconde fois à terre et me blessa la jambe, du sang en coulait, rouge et froid, je perdis connaissance à ce moment là.
On me réveilla sur-le-champ de bataille et m’informa de notre victoire dont je n’étais pour pas grand chose. Je rejoins mon ami et il me raconta alors le récit de la petite bataille :
- Tu étais à terre quand j’ai vaincu mon ennemi, apparemment tu te faisais malmener alors je suis intervenu et j’ai tranché la tête de ton ennemi. Puis, je suis reparti après m’être enquit de ton état de santé, tu n’avais rien de grave, seul une petite blessure à la jambe. Puis le reste du combat fut simple, nous étions à plusieurs sur chaque ennemi et l’on a gagné sans aucune perte.
- J’en suis heureux, dit j’en me rendant compte que ce qu’il appelait petite blessure à la jambe était une ouverture de bien douze centimètre dans mon mollet.
- Bon ne nous attardons pas les troupes d’orques seront bien plus nombreuses et redoutables et je ne voudrais pas m’y frotter seul !
On rebroussa alors chemin et arriva bientôt à la ville. Un rapport fut fait au roi. Quelques espions partirent alors pour le port envahi.
Quelques temps plus tard, on m’offrit une chambre dans le palais, j’en fus ravi car la couche du faune n’était pas très confortable, faune qui d’ailleurs monta dans la cité d’un étage pour avoir mener à bien ce tour de chauffe. Il était maintenant lieutenant en chef. Plusieurs jours s’écoulèrent et l’enrôlement de l’armée avait commencé, les soldats étaient prêts à toute éventualités.
La vie de la cité reprenait bon train tandis que les espions revinrent avec des informations. Les orques se regroupaient sur le côtes et faisaient venir des provisions pour la bataille, les espions ramenèrent aussi de nombreuses choses volés qui servirent peu mais qui équipèrent tout de même des soldats : Casques, côtes de maille, sabres…
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MessageSujet: Re: Perdu dans le brouillard...   Perdu dans le brouillard... EmptyLun 31 Juil - 20:55

donnez votre avis SvP ça ferai plaisir ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Perdu dans le brouillard...   Perdu dans le brouillard... EmptyMar 26 Déc - 17:35

chapitre trois en préparation!
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